Il était une fois une femme libre nommée Magalie.

La liberté à l’état pur

Enfant, elle aimait beaucoup lire et apprendre. Elle avait soif de liberté et était curieuse de tout. Les dinosaures, l’astronomie ou encore la génétique, même à 10 ans, étaient des sujet d’intérêt pour elle. Elle avait un imaginaire riche qui lui permettait de créer des objets, des jeux ou même des histoires extraordinaires. Les enfants avec qui elle passait ses récréations ne s’ennuyaient jamais. Elle avait donc beaucoup d’amis.

De plus, ce qui caractérisait Magalie, au grand damne de ses parents, c’est qu’elle ne supportait pas les contraintes et préférait apprendre par elle-même que par les autres ce qui lui permettait de garder sa liberté du quoi, du quand et du comment !

En grandissant, bien qu’elle s’intéresse toujours à de très nombreux sujets, elle a dû faire un choix : elle a fait des études d’ingénieur en agro-alimentaire mais elle aurait pu aussi bien devenir vétérinaire, chef dans un restaurant, mécanicienne, ophtalmologiste ou fleuriste.

Femme et liberté

Loyauté et concessions

Puis elle a rencontré celui qui serait son mari lors de la soirée de fin d’études, alors qu’elle avait 23 ans, et ils se sont installés ensemble quelques mois plus tard. Ce-dernier travaillant dans un grand groupe, a souvent été muté, les obligeant donc à déménager tous les 4 ans en moyenne. A chaque fois, elle devait quitter son emploi et ses amis et devait tout reconstruire dans chaque nouvelle ville. Parfois même, elle a été obligée d’accepter des emplois alimentaires faute de retrouver une entreprise pour exercer son métier.

Est-il besoin de préciser que la carrière de Magalie n’a pas pu décoller faute de stabilité ? Ceci, elle l’avait réalisé assez tôt mais comme elle aimait profondément son mari, elle était prête à faire cette concession pour lui. Lui en était reconnaissant et l’a toujours encouragée dans ses différents projet. Le respect et la loyauté mutuels leur ont permis de surmonter bien des épreuves, même cette « mise entre parenthèses » de Magalie elle-même.

Esprit de liberté, es-tu toujours là ?

Aujourd’hui, elle a 38 ans, trois enfants, elle occupe un poste de Responsable de rayon en agro-alimentaire et vit en Bretagne mais pour combien de temps encore ? Globalement, elle est heureuse malgré sa frustration de ne pas avoir eu la carrière qu’elle avait imaginée. Ce qui la « sauve », c’est son optimisme, son ouverture d’esprit et sa joie de vivre qu’elle sait si bien communiquer ! Elle ne baisse jamais les bras et à chaque arrivée dans une nouvelle ville, elle recrée ses différents réseaux amicaux et professionnels. Cela prend du temps, mais elle a beau savoir que quelques années plus tard, elle devra les quitter, elle y va avec toute l’énergie et l’enthousiasme qui la caractérisent. Ce fonctionnement fait désormais partie d’elle, c’est comme un réflexe ! Elle est en mode automatique ! Malgré cela, sa soif de liberté commence à la titiller…peut-être l’approche de la quarantaine !

Liberté retrouvée

Mais un jour, son mari lui annonce qu’il vont encore devoir partir et cette fois, elle en a assez, elle se sent lasse ! Lasse de mettre autant d’énergie à tout reconstruire pour une si courte durée. Elle aimerait tellement pouvoir emmener son emploi avec elle et maintenir le lien avec toutes les personnes qu’elle a croisé sur sa route ! Un métier qui lui plairait et dans lequel elle pourrait s’épanouir et grandir ! Un métier qu’elle pourrait exercer depuis chez elle, lui permettant également d’être présente pour ses enfants ! Elle veut en finir avec les compromis et enfin retrouver la liberté d’être elle-même tout en conservant les liens si forts qu’elle a avec sa famille ! Et si cela était possible ?

« Et oui, Magalie, cela est possible ! Je peux t’aider…discutons-en ensemble ! »

 

Cette histoire est purement fictive et toute similitude avec une personne existante serait purement fortuite. Mais si vous vous reconnaissez à travers ce portrait ou si vous pensez reconnaître quelqu’un, contactez-moi…j’ai peut-être une piste pour vous !